Septembre 1939. La famille Cazalet, réunie à Home Place, apprend l’entrée en guerre de l’Angleterre à la suite de l’invasion de la Pologne. On ferme les demeures londoniennes les unes après les autres pour se mettre à l’abri dans le Sussex, où les préoccupations de chacun – parent, enfant ou domestique – sont régulièrement interrompues par les raids allemands.
Polly, dont les parents s’enfoncent dans un insupportable mutisme, se tourne vers les discours pacifistes de Christopher et l’oreille attentive de Miss Milliment. Clary, sa meilleure amie, renseigne chaque parcelle de sa vie dans des carnets et élabore mille scénarios pour expliquer le silence de son père Rupert, porté disparu sur les côtes françaises. Serait-il devenu espion aux côtés du général de Gaulle? Zoë, sa femme, vient de donner naissance à Juliet, qui ne connaîtra peut-être jamais son père. Fascinées, les deux adolescentes observent aussi leur cousine Louise: à dix-huit ans, alors qu’elle fait ses débuts dans un sinistre théâtre de province, elle fume et porte des pantalons, au grand dam de sa famille.
Deuxième tome de la saga des Cazalet, À rude épreuve reprend le fil de l’existence de personnages dont Elizabeth Jane Howard continue d’explorer les secrets les plus enfouis, alors que l’Angleterre subit de plein fouet le conflit mondial tant redouté.
«Deux ans avant qu’il ne quitte la maison, mon père dit à ma mère que j’étais très laide.»
Giovanna, fille unique d’un couple de professeurs, vit une enfance heureuse dans les hauteurs de Naples. L’année de ses douze ans, elle surprend une conversation dans laquelle son père la compare à Vittoria, une tante à la réputation maléfique. Bouleversée par ce rapprochement aussi dévalorisant qu’inattendu, Giovanna va chercher à en savoir plus sur cette femme. En fouillant l’appartement, elle déniche de rares photos de jeunesse sur lesquelles son père se tient aux côtés d’une personne mystérieusement recouverte de feutre noir. Elle décide alors d’aller à la rencontre de cette Zia Vittoria habitant les quartiers pauvres de Naples. Dans cette partie de la ville qui lui était inconnue, l’adolescente découvre un autre univers social, une façon d’être plus spontanée. Incitée par sa tante à ouvrir les yeux sur les mensonges et les hypocrisies qui régissent la vie de ses parents, elle voit bientôt tout le vernis du monde des adultes se craqueler. Entre grandes espérances et cuisantes désillusions, Giovanna cherche sa voie en explorant les deux visages de la ville, comme deux aspects de son identité qu’elle tente de concilier.
Pewnego zimowego popołudnia 1980 roku, w samym sercu Londynu, Elise Morceau spotyka Constance Holden i natychmiast daje się jej oczarować. Connie, odważna i magnetyczna, jest odnoszącą sukcesy pisarką, której ostatnia powieść doczeka się filmowej adaptacji jednej z największych wytwórni w Hollywood. Elise podąża za Connie do Los Angeles, miasta marzeń i zapomnienia. Jednak gdy Connie upija się nowym życiem, w którym wszyscy otaczają się kłamstwem i próbują sięgnąć gwiazd, Elise zaczyna tracić grunt pod nogami. Podczas hucznego przyjęcia hollywoodzkiego słyszy rozmowę, która skłoni ją do podjęcia radykalnej decyzji mogącej zmienić jej życie.
Trzy dekady później, w 2017 roku, Rose Simmons szuka odpowiedzi na pytania dotyczące jej matki, która zniknęła bez śladu, gdy Rose była jeszcze dzieckiem. Ostatnią osobą, która ją widziała, jest Constance Holden - zapomniana pisarka, która wycofała się z życia publicznego, gdy była u szczytu sławy. Rose czuje się zaintrygowana losem Connie i szuka wskazówek, które wskażą jej sekrety przeszłości.
Ta pełna światła, romantyczna historia zabiera nas na niezwykle zaplanowane poszukiwanie tożsamości. Poprzez tajemnicze i niezapomniane postacie, Jessie Burton odsłania przed nami kulisy kręgów literackich i filmowych, a także drugą stronę twórczości artystycznej, fikcji i macierzyństwa.
Filozofowie są szczęśliwi, mając Minerwę za boginię patronkę. Jej sowa wylatuje o zmierzchu. Szczęśliwym zbiegiem okoliczności, tam właśnie jestem. Tuż przed zapadnięciem nocy, sowa użycza nam swoich oczu i pokazuje widok z lotu ptaka na szereg zagrożeń, które sprawiły, że dojrzeliśmy. Następnie możemy przewinąć film do tyłu i zauważyć krzywą łączącą ze sobą pory roku. Proszę wybaczyć mi zuchwalstwo, ale wydawało mi się, że przypowieść o francuskim “intelektualiście”, znającym więcej niż jeden kraj i mającym parę wykroczeń na koncie, mogłaby, jak wiele innych tekstów, przyczynić się do nakreślenia kartografii bardzo zajętej i wciąż trochę zamglonej epoki. Régis Debray
Francuzki, nieopublikowane portrety Hallydaya, Gainsbourga i Gary’ego, 5 lekcji Churchilla, słowa pewnej pielęgniarki, niebieskie lodowce i pień osiki, zaginiony brat, Picasso i Prévert zwróceni w stronę morza, Belmondo umierający w ramionach Dennera, nieskończona dziecięca czułość, Luchini, Trintignant i Chirac, członkowie ruchu oporu… to jak wiecznie płynąca rzeka życia.
Zaskakująca i ukazująca prywatne oblicze Philippe’a Labro, mądrość i pasje, wyznania i cytaty, oto zgodna z prawdą powieść człowieka, który przywołuje "rzeczy najważniejsze" i przypomina nam, że "miłość istnieje".
FILLE, nom féminin
Personne de sexe féminin considérée par rapport à son père, à sa mère.
Enfant de sexe féminin.
(Vieilli.) Femme non mariée.
Prostituée.
Laurence Barraqué dorasta z siostrą w latach 60. w Rouen. “Czy masz dzieci?” pytamy jej ojca. “Nie, mam dwie córki” odpowiada. Urodzenie się chłopcem bez wątpienia ułatwiłoby sprawę. To znacznie lepsze niż bycie “une garce”. W latach 90. Laurence zostaje matką. Jak mieć córkę, jak nią być? Co trzeba zrobić? Co przekazać?
Mistrzowskie pióro Camille Laurens opisuje zmiany społeczne w latach 90. oraz kładzie nacisk na znaczenie słów w konstruowaniu życia.
Joseph, un garçon de douze ans, pense devenir fou quand des voix s'invitent dans sa tête. C'est le début d'un jeu de piste avec certains objets qui lui parlent et l'attirent. Secondé par Mammò, l'arrière-grand-mère sage et révérée qui prend son don comme une malédiction, Joseph se plonge corps et âme dans la résolution des mystères familiaux par l'entremise d'un anneau perdu, d'une vieille photo oubliée ou d'un disque remisé dans un grenier.Différents narrateurs, à différentes époques, prennent en charge le récit et éclairent l'histoire d'un jour nouveau. Les thèmes du roman sont multiples. Le don et la distance qu'il implique quand il vient toucher un enfant au hasard. L'amour bien sûr, et la force des femmes. Mères, soeurs, amantes, elles s'affirment au fur et à mesure comme les véritables héroïnes du roman. Des femmes fortes, aux histoires singulières, qui s'agrègent pour n'en faire qu'une.
Les lecteurs d'Alias Caracalla vont retrouver dans le deuxieme volume des Mémoires de Daniel Cordier le meme bagarreur épris d'idéal et de sacrifice, le meme témoin candide mais scrupuleux de la grande histoire, le meme jeune homme sensible, avide d'art et de culture, le meme timide trop fier pour ne pas souffrir de ses faiblesses, le meme ami fidele multipliant les rencontres avec des etres d'exception.La victoire en pleurant prend la suite d'Alias Caracalla, immédiatement apres l'arrestation de Jean Moulin, en juin 1943, et accompagne Daniel Cordier jusqu'en janvier 1946, moment ou il démissionne des services secrets quand le général de Gaulle quitte le pouvoir.On le retrouve accomplissant son harassante besogne de pivot de la Délégation du Comité français de la Libération nationale, avec une lassitude croissante et au milieu de dangers toujours plus menaçants. On l'accompagne dans ses vacances improvisées ; dans ses conversations avec Jean-Paul Sartre, Albert Camus ou Raymond Queneau ; dans son internement en Espagne ; a la tete de son "agence de voyage" de Londres, ou il contribue de son mieux a la réussite du Débarquement ; dans son douloureux retour en France a l'automne 1944 ; dans ses fonctions au sein des services secrets, a l'intersection de la Résistance et du pouvoir politique. On l'entend s'entretenir avec Raymond Aron ou André Malraux.On est a ses côtés quand il retrouve ses amis rentrant de déportation.Il y demeure le meme, avec sa loyauté, ses emportements, sa passion, ses doutes, ses fous rires inattendus ou ses larmes. Toujours fidele a son engagement au service de la liberté.B.V.-C.
A Maputo, capitale du Mozambique, aucun client n'ose s'aventurer a l'hôtel dos Camaroes. Le patron est un vieux Français odieux, connu pour son gout du whisky. Quand il est retrouvé mort dans sa piscine, la police soupçonne arbitrairement une des trois femmes qui gravitaient autour de lui. Aurel Timescu, consul a l'ambassade de France, décide de s'en meler. Calamiteux diplomate, il se révele un redoutable enqueteur lorsqu'il pressent une injustice. Il va plonger dans le climat trouble de ces passions africaines. Et nous faire découvrir un des grands drames écologiques de la planete...
Conçu comme une redoutable machine narrative, Temps sauvages nous raconte un épisode-clé de la guerre froide : le coup d'État militaire organisé par les États-Unis au Guatemala en 1954, pour écarter du pouvoir le président légitime Jacobo Árbenz. Ce nouveau roman constitue également une sorte de coda a La fete au Bouc (Gallimard, 2002). Car derriere les faits tragiques qui se déroulent dans la petite République centroaméricaine, le lecteur ne manquera pas de découvrir l'influence de la CIA et de l'United Fruit, mais aussi du ténébreux dictateur de la République dominicaine, Trujillo, et de son homme de main : Johnny Abbes García.Mario Vargas Llosa transforme cet événement en une vaste fresque épique ou nous verrons se détacher un certain nombre de figures puissantes, comme John Peurifoy, l'ambassadeur de Washington, comme le colonel Carlos Castillo Armas, l'homme qui trahit son pays et son armée, ou comme la ravissante et dangereuse miss Guatemala, l'un des personnages féminins les plus riches, séducteurs et ambigus de l'oeuvre du grand romancier péruvien.
Il n'y a pas que le chagrin et la solitude qui viennent tourmenter Tara depuis la mort de son mari. En elle, quelque chose se leve et gronde comme une vague. C'est la résurgence d'une histoire qu'elle croyait étouffée, c'est la réapparition de celle qu'elle avait été, avant. Une fille avec un autre prénom, qui aimait rire et danser, qui croyait en l'éternelle enfance jusqu'a ce qu'elle soit rattrapée par les démons de son pays. A travers le destin de Tara, Nathacha Appanah nous offre une immersion sensuelle et implacable dans un monde ou il faut aller au bout de soi-meme pour préserver son intégrité.
Marseille, 1942. Helen, chanteuse anglaise sans succes, vit seule avec ses deux enfants - le narrateur et sa jeune soeur Liola. Lors de la débâcle de 1940, Helen, malade et sans le sou, s'est installée dans une mansarde donnant sur les toits. Mais son état de santé lui impose une hospitalisation et Helen craint que ses enfants ne soient recueillis séparément en son absence. Elle demande a son fils de construire un abri secret sur les toits, ou il se réfugiera avec sa soeur en attendant sa guérison et la fin de la guerre. Les enfants emménagent dans leur cachette. Les voici seuls sur les toits de Marseille, ou subsiste clandestinement toute une population marginale. Commence alors pour eux une vie pleine de surprises et de dangers.Avec ce magnifique roman d'aventures, Frédéric Verger s'inscrit dans la lignée des grands enchanteurs de la littérature.
En 1944, Mathilde, une jeune Alsacienne, s'éprend d'Amine Belhaj, un Marocain combattant dans l'armée française. Apres la Libération, le couple s'installe au Maroc a Meknes, ville de garnison et de colons. Tandis qu'Amine tente de mettre en valeur un domaine constitué de terres rocailleuses et ingrates, Mathilde se sent vite étouffée par le climat rigoriste du Maroc. Seule et isolée a la ferme avec ses deux enfants, elle souffre de la méfiance qu'elle inspire en tant qu'étrangere et du manque d'argent. Le travail acharné du couple portera-t-il ses fruits ? Les dix années que couvre le roman sont aussi celles d'une montée inéluctable des tensions et des violences qui aboutiront en 1956 a l'indépendance de l'ancien protectorat. Tous les personnages de ce roman vivent dans "le pays des autres" : les colons comme les indigenes, les soldats comme les paysans ou les exilés. Les femmes, surtout, vivent dans le pays des hommes et doivent sans cesse lutter pour leur émancipation. Apres deux romans au style clinique et acéré, Leila Slimani, dans cette grande fresque, fait revivre une époque et ses acteurs avec humanité, justesse, et un sens tres subtil de la narration.
Tanger, au début des années 2000. Un pédophile abuse de jeunes filles en leur faisant miroiter la publication de leurs poemes dans son journal. Il agit en toute impunité, sans éveiller le moindre soupçon.
Ce roman raconte l’histoire d’une de ses victimes, Samia, une jeune fille de seize ans. Elle ne se confie pas a ses parents, mais consigne tout dans son journal intime, qu’ils découvriront bien apres son suicide.
A partir de cette tragédie, les parents de Samia basculent dans un désordre qui révélera leurs lâchetés et leurs travers. Le pere, homme integre, rejoint la cohorte des corrompus. Ensemble, ils s’abîment dans une détestation mutuelle aussi profonde que leur chagrin.
La lumiere viendra d’un jeune immigré africain, Viad. Avec douceur et bienveillance, il prendra soin de ce couple moribond. Viad panse les plaies et ramene le souffle de la vie dans la maison. Le pauvre n’est pas celui qu’on croit. Et le miel peut alors venir adoucir l’amertume de ceux qui ont été floués par le destin.
"Je me suis trouvé un jour au théâtre, dans une salle, puis sur la scene : je m'en étonne encore moi-meme. Cet étonnement ne me gene pas, il me plaît et me satisfait. Le plus estimable, le plus heureux dans la vie est de s'étonner."Louis Jouvet (1887-1951) se tourne vers le théâtre autour de ses vingt ans, jouant des mélodrames ou de petits rôles avant de rencontrer Jacques Copeau, qui en fait son plus proche collaborateur au Vieux-Colombier. Ensuite, a la Comédie des Champs-Élysées puis a l'Athénée, il montera Jules Romains, Marcel Achard, Jean Cocteau et surtout Jean Giraudoux, développant une remarquable science de la mise en scene, qu'il mettra aussi au service de Moliere. Professeur au Conservatoire, il se passionnera pour l'enseignement et la réflexion sur son métier.Enfin, au cinéma, il jouera dans une trentaine de films, dont plusieurs deviendront des classiques : Knock, La Kermesse héroique, Drôle de drame, Hôtel du Nord, Entrée des artistes, Quai des Orfevres.C'est donc le récit d'une aventure artistique exceptionnelle que nous propose cette biographie.
Louise Glück compte depuis longtemps parmi les voix majeures de la poésie contemporaine outre-Atlantique. Son oeuvre, née de l'expérience et de la voix d'une femme, traverse le féminin tout en lui résistant car la biographie, quand elle a eure dans ses poemes, ne subsiste que comme trace : l'événement, déja passé au tamis du langage, laisse place a sa profondeur, a son interprétation, a l'interrogation.Le jardin ou l'on croise furtivement John, un mari qui cultive des plants de tomates, ou encore un fils, Noah, prend ainsi dans L'iris sauvage une dimension biblique et mythologique pour finalement devenir l'espace imaginaire ou se déploie une vaste polyphonie. Louise Glück y fait entendre a la fois la voix des fleurs interpellant leur Créateur, celle de ce meme Créateur se penchant sur sa Création, et la voix humaine questionnant sa propre finitude, notamment par un regard distancié sur la vie quotidienne. Dans cette chambre d'échos métaphysique, on trouvera portée a son comble une poétique de la renaissance qui est au coeur de l'oeuvre glückienne.Par une écriture qui emploie le langage de tous les jours, sublimé par le travail du vers et par les multiples résonances au sein des poemes, ou précision, coupes abruptes, ellipses tendent a souligner l'acuité de sa vision, Louise Glück parvient a dire la beauté tragique de toute vie sur terre, le temps d'une floraison.Ce recueil d'une originalité incomparable, a la composition parfaite, a été récompensé du prix Pulitzer de poésie a sa parution en 1992 et a marqué un tournant décisif dans l'oeuvre de Louise Glück.
On part en montagne pour éprouver la solitude, pour se sentir minuscule face a l'immensité de la nature. Nombreux sont les imprévus qui peuvent se présenter, d'une rencontre avec un cerf au franchissement d'une foret déracinée par le vent.Sur un sentier escarpé des Dolomites, un homme chute dans le vide. Derriere lui, un autre homme donne l'alerte. Or, ce ne sont pas des inconnus. Compagnons du meme groupe révolutionnaire quarante ans plus tôt, le premier avait livré le second et tous ses anciens camarades a la police. Rencontre improbable, impossible coincidence surtout, pour le magistrat chargé de l'affaire, qui tente de faire avouer au suspect un meurtre prémédité.Dans un roman d'une grande tension, Erri De Luca reconstitue l'échange entre un jeune juge et un accusé, vieil homme "de la génération la plus poursuivie en justice de l'histoire d'Italie". Mais l'interrogatoire se mue lentement en un dialogue et se dessine alors une riche réflexion sur l'engagement, la justice, l'amitié et la trahison.
"Rémy et Laure partageaient le sommet de Croisse-Baulet et, si modeste qu'il fut, il faisait pour eux de cet instant un moment inoubliable. Rémy connaissait trop la force de cette communion pour y meler les gestes minuscules de l'amour. Il sentait que son désir était partagé, que cette émotion avait la valeur d'une étreinte et que Laure, pas plus que lui, ne pourrait l'oublier. Tout devait garder son ampleur, sa grâce.
Les petites effusions, les maladroites caresses humaines, dans ces décors de lumiere, d'espace et de vent, sont dérisoires et meme insupportables. Il fallait laisser l'esprit se mouvoir sans contraintes. Le regard était suffisant pour exprimer l'émoi et celui de Laure parlait sans ambiguité. Ils retirerent les peaux de phoque des skis, réglerent les fixations pour la descente et raccourcirent les bâtons.
Puis, sans se hâter, l'esprit plein d'un moment qu'il était inutile de faire durer tant il était saturé d'infini, ils s'élancerent dans la pente".
Apres plusieurs années d'absence, un homme resurgit dans la vie de sa compagne et de leur jeune fils. Il les entraîne aux Roches, une vieille maison isolée dans la montagne ou lui-meme a grandi aupres d'un patriarche impitoyable. Entourés par une nature sauvage, la mere et le fils voient le pere étendre son emprise sur eux et édicter les lois mystérieuses de leur nouvelle existence. Hanté par son passé, rongé par la jalousie, l'homme sombre lentement dans la folie. Bientôt, tout retour semble impossible.Apres Regne animal, Jean-Baptiste Del Amo continue d'explorer le theme de la transmission de la violence d'une génération a une autre et de l'éternelle tragédie qui se noue entre les peres et les fils.
Amaia Salazar, détachée de la Police forale de Navarre, suit une formation de profileuse au siege du FBI dans le cadre d’un échange avec Europol. L’intuition singuliere et la perspicacité dont elle fait preuve conduisent l’agent Dupree a l’intégrer a son équipe, lancée sur les traces d’un tueur en série recherché pour plusieurs meurtres de familles entieres. Alors que l’ouragan Katrina dévaste le sud des États-Unis, l’étau se resserre autour de celui qu’ils ont surnommé le Compositeur. La Nouvelle-Orléans, dévastée et engloutie par les eaux, est un cadre idéal pour ce tueur insaisissable qui frappe toujours a la faveur de grandes catastrophes naturelles.
L’association du réalisme cru de scenes apocalyptiques en Louisiane, de rituels vaudous des bayous et de souvenirs terrifiants de l’enfance basque d’Amaia constitue un mélange ensorcelant et d’une rare puissance romanesque.
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