Fort Sedgewick. Un avant-poste au fin fond de l'Ouest sauvage. Trois ou quatre baraques délabrées, une poignée d'hommes épuisés. C'est la qu'est affecté le lieutenant Dunbar. Il revait de grands espaces, de batailles glorieuses. A son arrivée, une surprise l'attend : le fort est abandonné, il se retrouve seul. Seul... jusqu'au jour ou il découvre une femme blessée qu'il ramene chez les Comanches. Au fil des jours, il gagne leur amitié, apprend leur langue... et tombe amoureux de cette étrange squaw aux yeux couleur de feu, cette Blanche que les Indiens ont enlevée quand elle était enfant. Comme elle, il deviendra un Comanche. Désormais, le lieutenant Dunbar n'existe plus. Il est celui qui " danse avec les loups ". Mais la guerre n'est pas finie. Pour l'armée des Etats-Unis d'Amérique, John Dunbar est un déserteur.
Un avion de ligne a bord duquel le jeune Chinois Tchang se rendait en Europe s’est écrasé dans l’Himalaya. Tintin au Tibet (1960), pure histoire d’amitié, sans le moindre méchant, décrit la recherche désespérée a laquelle Tintin se livre pour retrouver son ami. Ce récit pathétique, qui rompt avec le ton extraverti des épisodes précédents, démontre que la fidélité et l’espoir sont capables de vaincre tous les obstacles, et que les préjugés - en l’occurrence, a l’égard de l’"abominable homme des neiges" - sont bien souvent le fruit de l’ignorance.
Des adhésifs dans le monde moderne Géorgie a le moral en berne : son mari vient de la quitter et elle n'a toujours pas rendu ses articles pour la revue Les adhésifs dans le monde moderne. Aussi, quand son amie Mrs Shapiro, une vieille juive excentrique, est admise a l'hôpital, Georgie décide-t-elle de l'aider en s'occupant de sa bâtisse en ruine. Flanquée de sept chats malodorants et d'une nuée de parasites en tout genre, Georgie va peu a peu exhumer le passé de Mrs Shapiro et réaliser combien les etres humains se retrouvent, souvent malgré eux, soumis aux lois chimiques de l'adhésion. « Une nouvelle fois, Marina Lewycka réunit ironie et tendresse dans un livre mené tambour battant. » Lire
Quinze nouvelles, autant de crimes et de proces.
L'écrivain et avocat Ferdinand von Schirach plonge au cour de la mécanique des affaires criminelles et de la psychologie des coupables. Qu'il s'agisse d'un viol collectif impuni ou de jeux sadiques dans un internat huppé, ces nouvelles nous éclairent autant sur ces enchaînements qui se transforment en crimes que sur l'innocence perdue en chemin. Ne se jouent pas seulement des questions de justice et de procédure mais des vies qui se détraquent.
Coupables sonde l'humanité de la justice avec un pouvoir d'évocation exceptionnel.
Dans "Tintin en Amérique" (1932), le héros confirme sa vocation de redresseur de torts, en s'opposant au mafioso Al Capone, aux gangsters de Chicago et aux fripouilles de tout accabit. Déja Hergé témoigne d'une vision généreuse du monde, stigmatisant par exemple l'attitude dominatrice des blancs envers les indiens peaux-rouges.
Le détective privé, Joe Kurtz, a payé pour son sens de la justice un peu trop expéditif. En sortant de prison, il est contacté par le vieux don Farino, parrain de la mafia en semi-retraite, qui le lance sur la trace de son comptable qui s'est évanoui dans la nature... Surveillé par l'entourage de Farino, harcelé par l'inspecteur Hathaway et pourchassé par d'inquiétants tueurs, l'enquete de Kurtz ne ser aps de tout repos.
Un thriller noir et violent, un suspens haletant par l'auteur de L'échiquier du mal.
Ou donc est-elle allée, la belle Marianne qui réjouissait par ses chansons la bonne société de ce patelin de la campagne anglaise ? Et pourquoi reste-t-il invisible, ce chef de la police locale ? Et quel jeu joue-t-il, ce chef d'entreprise de pompes funebres ? Serait-ce que dans les petites villes, les malfrats valent largement ceux des grandes métropoles ?
Sense and Sensibility est le premier roman que publia Jane Austen (1811). Le livre procede, si l'on considere le titre, d'une opposition entre deux traits fondamentaux : le bon sens et la sensibilité, qui seraient incarnés par deux sours, Elinor et Marianne. Mais l'une et l'autre sont bien pourvues de ces deux qualités, si Elinor possede plus de jugement, et si Marianne, en adepte du romantisme, a tendance a cultiver les élans de sa sensibilité. Notamment lorsqu'elle tombe aveuglément amoureuse du héros de ses reves, Willoughby, un homme superficiel, tourné vers l'argent, qui va la décevoir profondément. La sage, la raisonnable Elinor, qui l'avait mise en garde, avait-elle donc raison? Et le secret du bonheur serait-il dans l'usage du jugement?
C'est l'etre isolé affrontant la société, qu'analyse Jane Austen. La raison consiste a s'ajuster au monde, et non a le braver, a observer des regles qu'on ne peut changer, plutôt qu'a cultiver des reves et des états d'âme condamnés a rester sans réponse.
Le commissaire Llob, apres avoir enterré un ami d'enfance égorgé en plein soleil dans son jardin, est convoqué par sa hiérarchie pour avoir eu le tort d'écrire un livre. La guerre civile fait rage. Colere, amertume et terreur se melent tandis qu'au cour des villes, dans le silence des maquis ou sur les plages en pleine foule se terre la bete immonde de l'intégrisme. Prete a frapper. Prete a tout ; un jouet dans la main des puissants...
Lorsque Jean sort de prison, il est hébergé par une veuve de quarante-cinq ans dont il devient l'amant. Ancienne servante, elle avait épousé le fils de ses patrons. Elle doit maintenant se défendre contre l'avidité de ses belles-sours et de sa niece. La veuve Couderc s'attache a Jean avec une jalousie morbide, mais lui ne reve que d'un bonheur paisible.
Cette histoire simple a la grandeur d'une tragédie dont les héros sont appelés secretement a etre les artisans de leur propre malheur.
Roulez a trente a l'heure, ordonna l'homme d'une voix tendue, anxieuse. Je vous indiquerai le chemin. Quand nous serons arrivés, il faudra descendre de voiture et courir jusqu'au mur. Le projecteur sera braqué sur l'endroit ou vous devez passer ; tenez-vous immobiles dans le rayon lumineux. Des que le faisceau sera déplacé, commencez a grimper. Vous aurez quatre-vingt-dix secondes. Vous monterez le premier, dit-il a Leamas, et puis ce sera au tour de la fille.»
Roman de la guerre froide et de la trahison, roman du cynisme et de la raison d'État, prix Somerset Maugham, best-seller mondial adapté au cinéma avec Richard Burton, L'espion qui venait du froid est un chef-d'ouvre absolu qui a révolutionné le roman d'espionnage.
Michael Beard a atteint une cinquantaine plus que mure. Il est chauve, rondouillard, dénué de toute séduction et, au moral, il ne vaut guere mieux. Mais il a dans le temps obtenu le prix Nobel de physique ; depuis lors il se repose sur ses lauriers et recycle indéfiniment la meme conférence, se faisant payer des honoraires exorbitants. En meme temps, il soutient sans trop y croire un projet gouvernemental a propos du réchauffement climatique. Quant a sa vie privée, elle aussi laisse a désirer. En coureur de jupons invétéré, Beard voit sa cinquieme femme lui échapper. Alors qu'il ne croyait plus se soucier d'elle, le voila dévoré de jalousie.
Bientôt, a la faveur d'un accident, il pense trouver le moyen de surmonter ses ennuis, relancer sa carriere, tout en sauvant la planete d'un désastre climatique. Il va repartir de par le monde, a commencer par le pôle Nord…
A travers les mésaventures de ce prédateur narcissique, incapable de se contraindre, Ian McEwan traite des problemes les plus actuels. Et sur ces sujets tres sérieux, il parvient a nous fait rire. Voici peut-etre le roman le plus comique, le plus intelligent, le plus narquois de cet auteur, l'un des plus grands en Angleterre aujourd'hui.
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